Le jardin y rythme plaisamment celle du quartier, on y traverse la roseraie, on le loge pour savourer les expositions temporaires, on y distrait ses enfants, où on y lit.
Le Luco est le métronome et la halte rassérénant du quartier, une respiration de la vie parisienne.
On renoue avec un Paris rêvé que narre de manière ravissante le bazar de Marin Montagut rue Madame ou on file à la Closerie des Lilas pour essayer de retrouver l’endroit exact où Hemingway, perclus d’admiration y épiait James Joyce.
On fait une halte pour le thé chez Treize au jardin, Bread & Roses ou Mamie gâteaux avant de se sustenter l’esprit au Musée Zadkine, et si le temps s’y prête on s’arrête chez Sadaharu Aoki pour se charger de douceurs à déguster sur la pelouse du jardin des explorateurs.